me reprend le fusil et n’en finit pas de me féliciter, tandis que Fanny rapporte la pauvre petite bête dans sa gueule…  
Ce jour-là, sur le chemin du retour, il racontera l’anecdote à tous ceux que nous rencontrerons, avec la même fierté, la même ferveur. Et moi je reçois les félicitations de tous ces spécialistes, finissant par me persuader que j’étais devenu quelqu’un d’autre, pour le moins le meilleur tireur du monde…