FAMILLE GOUBIN - POULAT ETAT CIVIL
Comme pour la coupure du Télégramme, celle-ci me parle. Évidemment.!
Que de noms de personnes oubliées qui reprennent vie à cette lecture! Des silhouettes se dessinent, des timbres de voix également, des gestes. Peut-être sont-ils imaginés, mais ils sont là, devant moi…
Une fois encore, vertige…
Que de noms de personnes oubliées qui reprennent vie à cette lecture! Des silhouettes se dessinent, des timbres de voix également, des gestes. Peut-être sont-ils imaginés, mais ils sont là, devant moi…
Une fois encore, vertige…
Monsieur Pustoch, vous aviez vendu un bien beau vélo « Peugeot Frères » à ma sœur Éliane. Votre atelier de réparations sur deux niveaux au moins, était fascinant. Il avait quand même bien plus d’allure que la pharmacie de Marcellin Prieur qui après avoir tout démoli, vous a succédé au début de la rue Genot…
Le cliché est pris depuis la place Ch. De Gaulle (je ne me souviens plus du nom qu’elle portait à l’époque). On aperçoit le tribunal à l’arrière plan. Les tilleuls aussi, que personne n’avait eu encore l’idée saugrenue d’arracher.
Le cortège, qui suit à pied le corbillard, est donc à peu près à mi chemin entre la place Lovignon, où a eu lieu la levée du corps, et le cimetière.
Chacun avance à pas lents, comme à une répétition générale de ses propres funérailles…
Le cortège, qui suit à pied le corbillard, est donc à peu près à mi chemin entre la place Lovignon, où a eu lieu la levée du corps, et le cimetière.
Chacun avance à pas lents, comme à une répétition générale de ses propres funérailles…
… « On ne les r'verra plus
Et c'est bien attristant
Les belles pompes funèbres de nos vingt ans »… G. Brassens
Et c'est bien attristant
Les belles pompes funèbres de nos vingt ans »… G. Brassens
ON EN A PARLÉ …
